Ce que je suis

Je suis un Digital Professional Native.

Il n’y a pas de hasard. Parce que je suis naturellement curieux de tout, je me suis très tôt intéressé et passionné pour Internet et j’ai écrit le premier mémoire sur Internet de l’Université de Paris I, alors que j’étais en DESS Marketing (1996).

Aller travailler dans ce domaine est donc devenu une évidence.

Ma spécificité

Le digital m’a donné l’occasion d’être constamment sur deux registres, que j’aime autant l’un que l’autre :

• Celui de la vision, de l’analyse et de la définition stratégique

• Celui de la mise en œuvre et de l’action

Mon terrain de jeu

Celui de l’entreprise d’aujourd’hui qui navigue dans un contexte aussi complexe que passionnant.

J’ai été tout à la fois transformateur (de l’entreprise) et transformation (de moi-même) au cours d’un parcours professionnel extrêmement opérationnel : Club-Internet, Alcatel, PPR, Celio, Cerruti, Altares (où j’ai été Chief Digital Officer).

Mon intérêt pour le sujet m’a donc tout naturellement amené à aller vers le conseil qui m’a permis de pleinement valoriser mon expertise auprès de Dior, Sanofi, Bouygues, Nuxe, Pixmania… entre autres.

Cette dynamique a même rejailli sur des activités connexes à mon métier : coaching de dirigeants, rédactions de livres, blogging, enseignement…

J’ai donc des références, des réflexes, des façons de faire, des méthodes, un état d’esprit qui étonne et détonne.

Mon nouveau challenge

Je suis prêt et déterminer à rejoindre une aventure collective, à participer activement à la transformation d’une entreprise aux coté de ses dirigeants.

Le timing est le bon.

Qu’est-ce que le digital peut apporter à l’entreprise est mon obsession.

C’est le contenu du job que je viens chercher par-delà un statut, un titre, une position.

Mes convictions de co-équipier

Mes convictions sont fortes :

1. Le digital ne s’improvise pas. Ne réussiront que ceux qui s’y sont bien préparés.

2. La bonne stratégie ne peut pas être un simple copier-coller de ce qui se fait ailleurs.

3. Il n’existe pas de one best way stratégique. A chacun sa stratégie, à chacun son destin digital.

4. Pour fonctionner, le digital doit s’enraciner dans l’ADN des marques tout en tenant compte de la culture d’entreprise.

5. Le digital doit être au service de l’entreprise, de son projet et de sa stratégie, et non l’inverse.

6. Le digital est devenu trop important pour ne pas être l’affaire de tous.

7. Pour rester efficace dans la durée, l’intensité du court terme ne doit pas faire oublier le long terme.

Mon style de jeu

J’ai fait mienne cette maxime : Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.

Le digital introduit nécessairement du changement et de la nouveauté au sein des entreprises qui ne pouvaient pas y être préparées.

Par conséquent le patron du digital se doit d’être un trait-d’union, une passerelle, un facilitateur, entre des pôles éloignés.

Ma contribution dans l’équipe

Mes grands chantiers seront donc :

Vision : Comment mettre le digital au service de l’entreprise (et non le contraire).

Stratégie : Comment prioriser dans le large champ des possibles du digital, les chantiers les mieux à même de régénérer l’entreprise dans son nouvel écosystème de plus en plus digitalisé, pour lui permettre de continuer son aventure.

Mise en œuvre : Comment mettre en place une organisation digitale qui bénéficie de l’agilité que requiert Internet, sans la déconnecter du reste de l’entreprise (son business historique, sa culture, son management, ses process, ses clients, son offre, sa réalité quotidienne…)

Management : Comment orchestrer et instaurer durablement la recherche de synergies entre le core business et le digital.

Business : Comment réconcilier les impératifs business de courts termes de l’entreprise avec ses besoins en innovation.

Métiers : Comment garantir à l’entreprise qu’elle effectue les bons choix (humains, techniques, tactiques…)

Leadership : Comment irriguer des réflexes, un état d’esprit, des pratiques digitales dans l’ensemble de l’organisation.